Wibert Elwine Winnington

Dans la famille Winnington, on demande Wiwi ! Wibert le Cracmol, Wibert le grand frère. Celui qui voit tout et qui n'oublie rien. Wiwi le futé, le malin, le raté, le pauvre Wiwi. Pas facile tous les jours d’être le seul non sorcier de sa famille ou de son entourage depuis longtemps -le dernier moldu connu en date étant son arrière grand-père. Surtout quand né deux ans après vous un petit frère  qui finira par démontrer des talents magiques que vous n’avez pas.

Pourtant malgré cette légère différence, Wibert ne s’est jamais vraiment considéré comme inférieur au reste de sa famille ou au reste du monde sorcier.

Issu d’une famille descendant d’une longue lignée d’aristocrates et de bourgeois anglais aux traditions très ancrées, on pourrait pourtant croire que la révélation du statut de Wibert provoquerait quelques problèmes au sein de la famille. Toujours est-il que malgré ce qu’ils voyaient comme un handicap sévère, Mr et Mme Winnington on néanmoins toujours fait en sorte d’offrir à Wibert une éducation que l’on qualifierait de normale sur le monde sorcier en complément de l’éducation strictement moldu qu’il serait obligé de suivre. Et même lorsque son petit frère Kenrick finit par montrer ses pouvoirs, renforçant ainsi cette impression de handicap chez les parents, ça n’affectait finalement pas beaucoup Wibert. Il n’avait peut-être aucun pouvoir magique lui mais il s’était découvert d’autres dons pour rivaliser. Cette attention pour les moindres détails, doublé à cette mémoire d’éléphant lui permettait au moins de se démarquer autrement. Il rencontrait certes quelques difficultés en dehors du cercle familial, que ce soit en croisant les autres enfants sorcier ou parmi les moldu. Parce qu’il ne se sentait jamais véritablement à sa place et que les moqueries étaient faciles à ignorer au fond.

Il était une fois un petit garçon nommé Wibert, un petit garçon qui aimait beaucoup s’amuser. Résoudre des devinettes était son jeu favori. Si vous aviez pris la peine de lui en demander la raison, il vous aurait répondu après avoir haussé les épaules qu’il avait toujours apprécié la complexité et les détails mais surtout qu’il était curieux. Et après ça il aurait été curieux de savoir pourquoi vous lui demandiez cela.

Il avait toujours été curieux, curieux jusqu’à l’obsession. Lorsqu’il était âgé de sept ans, le petit curieux se glissait dans la bibliothèque de l’école pour aller lire les contes de fées, les ramenant dans la salle de classe entièrement vide pour les savourer à loisir. Pour cela, il glissait du chewing-gum dans le trou de la serrure de manière à ce que la porte ne soit jamais vraiment fermée. Les contes s’étaient à l’époque ses préférés, ne sachant pas encore si c’étaient de simples mensonges qu’on racontait aux enfants pour leur dissimuler les aspects les plus sombres et les plus douloureux de la vie ou si au contraire les contes de mentaient jamais à ceux qui savaient les écouter. Du moins jusqu’au jour où le petit curieux avait finalement osé s’aventurer dans un rayon réservé aux plus grands pour y découvrir les enquêtes de Sherlock Holmes. Et il n’en avait pas fallu plus pour que Wibert se lance dans ses propres mystères. Un sac de billes, une chocogrenouille et le voilà qui partait à la recherche du voleur de goûter –faut pas laisser son sac trainer- ou de la montre enchanté perdu par son père –le jouet préféré de son frère.

Toujours est-il que ces deux livres il ne les a jamais oublié parce qu’ils sont comme les deux facettes de son univers, un monde de moldu rationnel et un monde de sorcier enchanté.

Il était une fois un petit garçon nommé Wibert et qui n'était plus si petit…et si vous vous demandiez comment il a trouvé la porte menant au pays des mystères et des dangers, maintenant vous connaissez la réponse. Quelquefois, il pouvait vous intriguer quand vous le regardiez…et si vous lui aviez demandé quelle était sa vraie nature, il vous aurait seulement répondu par un sourire énigmatique avant de vous tourner le dos et disparaitre. La seule chose dont vous pouviez alors être vraiment sûr c’est qu’il était différent et passionné.

Il était brillant il le savait, avec ses facilités de mémoire, son côté attentif et même ses résultats scolaire le démontraient. Il avait fini par découvrir les arts non magique et la technologie, lui le faux moldu au savoir sorcier. Lui qui évoluait entre deux mondes sans en faire intégralement partie. Lui qui jusqu’alors ne s’était jamais senti lésé par la vie, avait toujours réussi à faire taire le souffle de la discorde en lui. Il avait toujours d’autres moyens de se faire remarquer. Pourtant les choses avaient quand même fini par changer et son don naturel n’arrivait plus à le démarquer assez des talents magiques de son cadet, renforçant ce regard de handicap que posait sur lui ses parents et qui l’agaçait tant. Du coup il avait décidé d’en profiter, en jouant avec habileté pour qu’on lui cède à presque tous ses caprices que ce soit de détective ou d’artiste. Et il était plus que jamais décidé à ne pas renoncer à ces mystères parfois enfantins. Parce que découvrir la solution d’une énigme, résoudre une affaire qu’on lui confiait ça lui donnait une sensation de puissance, comme si c’était lui qui tirait les ficelles de ce complexe réseau d’histoires au sein duquel il circulait, lui qu’on pensait toujours à la traine dans ce monde magique. Il allait bien finir par leur prouver qu’ils se trompaient.

Il avait toujours cette impression qu’au fond on voulait le pousser à choisir mais il n’en avait pas envie. Sorcier, Moldu, pourquoi choisir entre ces deux mondes qu’il commençait à peine à conquérir…

Il était une fois un garçon nommé Wibert … et si vous lui aviez demandé ce qu’il a ressenti en basculant dans le gouffre noir de la réalité, dans l’obscurité où rodaient des monstres qui peut-être ne rêvait que de les dévorer, il aurait éclaté de rire en vous répondant qu’il les connaît pour la plupart déjà et que pour le reste ils n’existent pas.

Parce qu’à ce moment de sa vie il ne connaissait de l’existence des monstres que ce qu’il en avait lu dans les livres de sorciers ou dans les actualités. Parce que malgré les rumeurs de mages sombres que rapportait son frère de l’école Poudlard où il passait ses années,  il n’avait pas encore été confronté à l’aspect le plus sombre de la résolution des mystères et des énigmes. Parce que Wibert ne s’était pas encore complètement éveillé du monde douillet de l’enfance pour être confronté, pour la première fois aux ombres qui s’étendaient derrière les silhouettes tourmentées des arbres morts. Et surtout il avait bien d’autres contrariétés à affronter. Son frère passait son temps à lui dire que sa dépendance irrépressible pour les mystères était tout sauf saine. Il n’y avait bien que lui pour ne pas se laisser embobiner dans son petit jeu de faux martyr. Ses remarques l’irritaient beaucoup. Le mot de dépendance ne devait s’appliquer que pour décrire des substances nocives et malsaines qui brulaient, corrompaient et détruisaient lentement ceux qui était sous leur emprise. Quelque chose qui permettait à une personne de satisfaire ses désirs égoïstes en détruisant la vie d’une autre. Comment pouvait-on seulement penser à utiliser ce mot qui aurait mieux convenu à certains mages noirs pour décrire son attirance pour les mystères ? Après tout lui servait une juste cause, dissipait les ombres  en y apportant la lumière de la vérité. Pas de besoin obligatoire de baguette pour lutter contre les ombres de ce monde.

Et c’est là que le grand méchant loup avait montré son nez, l’obligeant finalement à grandir et se réconcilier.

Il était une fois un grand garçon nommé Wibert et si vous lui aviez demandé qui était la personne la plus intelligente et douée au monde, il vous aurait répondu d’une voix sûre de lui qu’il ne le savait pas … Avant de vous souffler que, que ce soit avec du pain de mie ou avec des petits cailloux, il finissait toujours par trouver le chemin qu’il cherchait.

Il ne riait plus, il ne jouait plus vraiment non plus. La guerre avait prit une réalité trop grande pour qu’il continue d’ignorer l’existence des vrais monstres. Il avait fini par remarquer les sourires inquiétants qui semblaient apparaitre le long de la surface du bois desséché des arbres morts de cette inquiétante forêt où il faisait ses pas. Il n’était pas celui qu’on inquiétait le plus dans cette folie, continuant d’évoluer presque tranquillement entre les mondes sorcier et moldu, mais tous n’avait pas la même chance que lui, il en était conscient. Et les récits et inquiétudes de son petit frère pour ses amis ne faisait que renforcer son sentiment. Oui il voulait agir. Il n’avait pas les pouvoirs de lutter de fronts, mais il avait d’autres talents qui pouvaient se montrer utile. Il ne serait jamais dans les premiers rangs, il le savait. Alors il avait commencé simplement, abandonnant tout pour se mettre sur les traces de certaines personnes, s’informant juste afin d’aider à rassurer certains proches. C’était presque comme les jeux de son enfance, mais c’était bien la première fois qu’ils lui apparaissaient auréolés d’une telle sensation d’intimité…et de réalité. Plus de musique dramatique dans sa tête. Juste la terreur et l’horreur des jours sombres. Les gens ont toujours tendance à avoirs recours à des expressions des plus poétiques lorsqu’ils parlent des horreurs de la mort, décrivant d’un ton mélancolique chacun des derniers instants au cours duquel votre vie vous est brutalement arrachée. En voyant pour la première fois l’horreur de ses propres yeux, l’horreur et la douleur de cette guerre sombre, il avait compris à quel point les auteurs mentaient. Que toutes ses personnes qui tentent de vous les décrire n’ont jamais ressenti le baiser glacial de la mort. C’est à ce moment qu’il avait cessé d’être un simple spectateur, se lançant toujours plus loin malgré ses maigres moyens. Avec l’aide d’un peu de magie et de beaucoup de technologie il pouvait au moins faire illusion, se camouflant aux regards de la vilaine réalité, cherchant les renseignements qui pourraient peser dans la balance. Ce n’était pas lui qui pourrait faire la différence il le savait, mais au moins s’appliquait-il à apaiser quelques maux, sans rester bras croisé.

Et dans cette noire et obscure réalité, un rayon de lumière avait fini par frapper en plein cœur, chassant les mauvais nuages pour donner un nouveau départ. Ce qui était sûr après tout ça c’est qu’ils avaient tous un petit peu changé.

Il était une fois une petite fée nommée conte de fée, une petite luciole qui virevolte dans vos rêves et éloignes les cauchemars de vôtre âme par la lumière qu’elle y apporte. Les mensonges ne peuvent pas vous protéger des créatures qui rodent dans les ténèbres de la nuit, ils vous aident seulement à fuir les aspects les plus durs de la réalité en vous laissant croire ce que vous avez envie de croire. Les contes de fées eux vous disent de croire que l’impossible peut devenir possible et vous aident à affronter la réalité même quand elle se présente sous les aspects les plus terrifiants…Alors oui les contes de fées ne mentent jamais.

Il avait finalement choisi, entre les deux grandes routes qui s’offraient à lui. Choisi de suivre les deux en même temps. Il n’était pas retourné à l’oisiveté des jours d’avant, préférant continuer à aidé comme il l’avait fait pendant les derniers mois. Continuant cette vie que beaucoup avait cru impossible pour lui. Parce que lui il avait toujours choisi d’y croire au fond.

Après la guerre la vie avait finit par reprendre son cours, mais aucun des deux mondes que connaissait Wibert était vraiment parfait. Mais c’était tant mieux. Quelques fois, l’imperfection d’une chose peut en renforcer sa beauté, de même que sa fragilité pouvait en renforcer la solidité.

La plupart des gens disent toujours qu’on finit inévitablement par aimer ce qui nous est le plus difficilement accessible. Dans le cas de Wibert ce serait donc la magie. Pourtant il n’a jamais vraiment rêvé être né avec des pouvoirs. Pour lui la magie est outil à laquelle il peut recourir au cours de ses enquêtes, mais c’est surtout l’univers au milieu duquel il a grandit.

Wibert est quelqu’un d’attentif, en effet il remarque chaque détail, le note et l’inscrit à jamais dans sa mémoire. Sa mémoire photographique est pour lui un réel don et qu’il cherche à toujours exploiter. C’est sa différence, sa particularité à lui, ce qui lui permet de se démarquer encore plus dans sa famille de sorcier et il en profite bien, n’hésitant pas à épater la galerie parfois. Après tout à vivre sans magie on a un peu plus de mérite, et de ce point de vue là il apprécie donc beaucoup le monde moldu. Si l’absence de pouvoir magique aurait pu provoquer chez lui de fort complexe, son étonnante mémoire et son attention pour les petits détails on fini par développer chez lui un effet contraire, le rendant parfois un brin arrogant. Car oui des sorciers et des moldu il y en a partout de part le monde, alors qu’un Wibert il n’y en a qu’un.

Le fait d’être un cracmol à toujours été vu comme un handicap par ses parents, point de vue que lui n’a jamais partagé mais dont il s’est bien souvent servi pour les faire céder à ses caprices ou pour faire accepter ses petites lubies. Ainsi Wibert est devenu un excellent manipulateur, sachant assez bien embobiner le monde pour le mener dans la direction qu’il souhaite. Il n’y a bien que son petit frère pour n’avoir jamais marché dans son jeu, du moins jusqu’à maintenant. Un frère avec qui la relation fut un temps compliqué mais ça n'a pas vraiment duré. Un peu sale gosse non ? Oui mais rassurez-vous la guerre l’a un peu fait murir. Il sait bien qu’il n’est pas à plaindre, qu’il ne l’a même jamais été et à vrai dire il n’aimerait absolument pas qu’on le fasse.

Au fond Wibert est un garçon complexe et quelque peut tiraillé entre deux univers auxquels il n’appartiendra jamais complètement. Il a beau connaitre le monde magique comme tout le reste de sa famille, il sait qu’on le verra toujours différemment. Et il a beau être parfaitement intégré au monde moldu, il sait qu’aucun d’entre eux ne pourra jamais vraiment le comprendre. Mais ça lui convient parfaitement. Il suit son propre chemin, une voie unique comme lui. Celle qu’il se trace chaque jour tout en rendant service à ceux qui viennent demander son aide. Oui il n’est peut-être qu’un simple détective, mais même les plus petits gestes et actions peuvent avoir un effet positif. Il l’a compris en abandonnant les bancs d’Oxford pour aider les familles victimes de la guerre.

Au fond c’est aussi un garçon très simple. Présentez-lui une énigme, un mystère, un puzzle ou un simple casse-tête et vous aurez toute son attention, en plus de certainement faire son bonheur. Montrez lui quelque chose d’à première vu inaccessible ou impossible et il ne résistera pas à l’envie de prouver le contraire, quitte à s’obstiner un peu trop. Car si il y a bien deux choses auxquels il croit c’est en l’espoir et au fait que même l’impossible peut devenir possible quand on y croit. Voilà pourquoi Wibert est quelqu’un d’aussi passionné.

Alors oui, il n’est pas le plus grand des héros et ne le sera jamais. Il est juste assez malin et futé. Il n’est pas le plus gentil ou le mieux élevé, mais il sait apporter son aide à qui le demande. Il est aussi parfois égoïste, parfois crâneur, mais s’est aussi un grand rêveur. Il aime le monde autant qu'il aime sa famille et ses proches, même si il ne le montre pa forcément. Il a un don, celui de presque tout voir et de ne jamais oublier, un don qui agace et qui fascine en même temps. Oui il est tout ça à la fois et en même temps seulement Wibert. Mais c’est déjà bien suffisant.

Physiquement notre cher Wiwi est plutôt grand, mesurant presque 1m80. Pas forcément impressionnant au premier regard, son corps n’est pas vraiment imposant, sans être très fin non plus. Pourtant ses épaules sont assez larges et sa musculature bien présente en raison de ses activités de détective, bien que dissimulé par ses vêtements.

En réalité comme beaucoup d’autres choses, ce sont les détails qui sont le plus intéressant à relever dans le physique de Wibert. D’abord sa tignasse blonde et pleine d’épis et de mèches folles. Ses cheveux un peu longs sont d’un blond doré, permettant ainsi à ses yeux bleus de ressortir clairement sur son visage. Un visage qu’il a plutôt droit et fin et où apparaissent encore quelques traces de ses origines aristocratiques. Dans son regard par exemple, un regard perçant qui semble disséquer tout ce qu’il voit avec la précision d’un scalpel. Aoutez à cela un nez droit, des lèvres fines toujours plissé dans un air assuré et vous aurez une idée assez précise de l’impression et de l’allure que peut donner Wibert, du moins quand il ne le dissimule pas sous une autre apparence à l’aide du polynectar qu’il utilise lors de ses enquêtes.

Côté vestimentaire tout dépendra des circonstances dans lesquels vous le rencontrerez. Ainsi, si vous le croisez au cours d’une de ses affaires, il abordera un style plutôt chic, avec costume et grand manteau noir tout en essayant de garder un air un brin décontracté. Costume qu’il a adopté récemment et qui est un peu un signe de cette maturité qu’ils ont tous gagné. Pas de grand pardessus à carreaux ou de casquette comme son idole non. Le style de Wibert et en fait assez varié, allant du classique et bien habillé au typiquement anglais en passant par le plus rebelle avec jean et basket quand il se promène dans le monde moldu et qu’il arborait souvent en école secondaire. Car oui comme tout le monde le jeune homme à connu une crise d’adolescence assez marqué et dont il a conservé quelques traces sous la formes de ses tatouages. Et ces trésors il les a obtenus avec le consentement de ses parents, jouant et profitant de que ces derniers considérait comme son malheur, à savoir son statut.

Et oui, Wiwi était un sale gosse on vous l’a bien dit. Concernant ses tatouages, ils sont aux nombres de trois, bien que tous ne soient pas visibles. Le premier se trouve sur le côté gauche de son abdomen, débordant un peu le long des côtes et représente un cheval noir entouré de flammes bleues. Le second lui se trouve sur son bras gauche, partant du dessus de sa main, des ronces entrelacées remontent le long de son bras jusqu’à arrivé à son biceps où se trouve tatoué un soleil stylisé. Le tout dernier se situe à la base de son cou est représente un petit crâne noir, lui aussi entouré de flammes bleues. Petite annectode il les a en fait lui même dessiné.

Après il lui arrive également de porter des lunettes, mais c’est surtout pour lire et même dans ces cas là il ne les met pas à chaque fois. Au final c’est donc un style assez unique et en même temps un peu classique que celui de Wibert. Un style à son image parfois dissimulé sous celui de sa famille.

۞ Établissement(s) fréquenté(s) : Primary School, Secondary School en école moldu et Université d’Oxford
۞ Option(s) ou filière(s) suivie(s) : Art, Informatique et Français
۞ Résultats aux examens :
GCSE (Generaly Certificate of Secondary Education)
-Langue Anglaise : (A)
-Littérature Anglaise (B)
-Mathématique (C)
-Physique (B)
-Biologie (A)
-Histoire (C)
-Géographie (D)
-Français (D)
-Art (A)
-Informatique (B)

A-Level (Advanced Level)
-Psychologie (A)
-Droit (B)
-Informatique (B)
-Sociologie (C)

E.M.E.U mention (O)ptimal
۞ Poursuite d'études éventuelle : Etudes de psychologie à Oxford (abandonné)
۞ Emploi(s) : Détective privé