O'Conell Louise

Salut,

Je t'envoie mon histoire directement par MP, j'ai essayé de la modifier pour prendre en compte certaine chose. Ensuite je voulais préciser certaines choses, par rapport à avant. (J'ai l'impression que tu cherchais un peu la petite bête, car tu m'aimes pas vraiment.) Quand je parlais d'année supérieure, c'était qu'elle recevait un peu d'argent après chaque année scolaire, pour la récompenser de son passage à l'année suivante. Ensuite quand je parlais des fournitures, c'était les fournitures qu'elles avaient eu besoin pendant ses études à BeauxBatons. Ensuite, assisté à un baisers de détraqueurs signifiaient pas qu'elle en est la victime. Ensuite au sujet du Ministère, j'avais mis qu'elle ne le connaissait pas au début de ses études. Ensuite, elle sait que des gens se sont battues contre Voldemort, elle reproche juste le Ministère d'avoir rendu les armes aussi facilement.

Donc voila, si l'histoire convient, fais le moi savoir par MP et je viendrai immédiatement la copier-coller dans ma présentation. Encre désolé de te faire perdre ton temps avec cela. Si c'est pas le cas, honnêtement, je ne serai vraiment plus trop quoi faire.

Prologue : La jeunesse de Louise O'Connel

Louise est née à Genève, en Suisse. Elle est la fille d'un père américano-allemand, et chercheur au Centre Européen de la Recherche Nucléaire (CERN). Et d'une mère française qui travaille comme cadre supérieur, au sein de la Banque de France. Tous deux étaient des moldus, très respectables et respectés dans leur monde. Elle est née dans un véritable nid d'amour. Elle eut une relation père-fille peu épanouie. Le travail de son père occupait beaucoup se dernier, obligeant ce dernier à délaisser sa fille. Toutefois, même s’il délaissait sa fille, il faisait en sorte de passer ses congés avec elle et sa femme, en famille. Quant à sa mère, elle lui donnait beaucoup d'attention, Louise obtenue son éducation principalement de sa mère. Ainsi qu'à garder estime de soi à tout moment. Elle aimait sa mère plus que son père, dû à l'amour maternel plus important, qu'elle recevait de celle-ci. Elle les aimait énormément et elle les respectait, ce qui était réciproque. Elle a découvert ses pouvoirs vers l'âge de sept ans, quand sans faire exprès, elle parvint à ouvrir tous les robinets des toilettes des filles sans même les toucher. Elle reçut une punition par l’école d’avoir inonder les toilettes, mais elle tenta d’expliquer qu’elle n’avait rien touché. Nul ne voulut croire que l’inondation c’était réalisé par magie. Ses parents restèrent sceptiques eux-aussi, au sujet de la magie.

D’autres incidents surnaturels se produisirent, sans gravité et par chance, occasionnels. Elle n'arrivait pas à comprendre ce qui se passait et se mit à avoir peur. Les moqueries des autres écoliers à son sujet, la traitant de monstre et d'erreur de la nature, provoquèrent un incident plus dramatique. La peur d'être un monstre, la colère de n'avoir personne pour l'aider dans son entourage. Ses propres parents voulaient l'aider, mais ils étaient totalement impuissants face à la situation. Le stress, la colère et la peur se mêlèrent et éclatèrent dans un hurlement de terreur. Un hurlement empli de magie, provoquant l'explosion de toutes les vitres de la salle de classe. La direction a du faire fermer la salle pour réparation. Cette mésaventure s'était passée vers la fin de l'année scolaire, à seulement un mois de son onzième anniversaire. Ce fut, un passage dont elle a que peu de souvenir. L’école semblait avoir fermé pour cause de travaux, dû à un défaut de la structure des vitres, ainsi qu’une trop forte aération.


Chapitre 1 : Une scolarité très féminine en Europe

L'été commença et Louise put se détendre aux bords de la méditerranée avec ses parents. Le soleil chaud et les bancs de sables chauds. C'était si agréable pour elle de se sentir libre des moqueries. Cependant, elle découvrit la vérité au sujet de toutes les choses surnaturelles de ces quatre dernières années. Vers mi-juillet, la réception de leur hôtel remit à la famille une lettre avec le sceau de Beaux-Bâtons sur de la cire bleu comme fermoir. Les parents de Louise s’échangèrent un regard assez complice et décidèrent de parler à leur fille, avant qu’elle n’ouvre la lettre. Ses parents lui expliquèrent que, peu de temps après les premiers incidents, ils ont reçu la visite d’une personne. Cette personne leur a expliqué les capacités qu’elle possédait et qu’un jour, elle serait conviée à venir étudier à l’Académie de Magie de BeauxBatons. Une sorcière ! Cette nouvelle eut un effet assez étrange, Louise était assez mal à l’aise de cette nouvelle. Le fait qu’elle était une sorcière était vraiment difficile à croire. Elle ouvrit la lettre prestement pour lire sa lettre d’admission, l’invitant à venir faire ses études à BeauxBatons.

Louise et ses parents se rendirent au « Chemin de Traverse » français. La jeune demoiselle aux cheveux blonds parvint à trouver toutes ses fournitures scolaires dans un état neuf et même une baguette de sorcier. Une belle baguette souple en bois d'if avec un crin de licorne, elle avait comme toute sorcière été choisie par sa baguette. Elle arriva enfin à l'Académie de magie de BeauxBâtons, elle avait hâte d'apprendre à se servir de la magie à en apprendre plus sur ce qu'elle était réellement. Le fait que l'académie soit constituée principalement de filles était assez perturbant au début. Elle put apprendre de nombreux sortilèges, enchantements et confection de potions. Elle faisait la fierté de ses parents qui bien ne comprenant pas ce qu'était ses études en réalité. Louise avait d'excellentes notes, des notes allant de (E)ffort Exceptionnel à (O)ptimal.

Elle savait parfaitement qu'avec de telle note, elle allait pouvoir obtenir une place de choix dans la société. Cependant qu'elle était la place d'une sorcière dans la société ? Elle n'était pas très au courant de l'existence réelle du Ministère de la Magie avant ses études. Ce fut en apprenant exactement son existence et la magie noire qu'elle trouva enfin ce qui serait son fil d'Ariane dans sa vie. Dès qu’elle en apprit son existence lors de sa première année, qu’elle commença à se renseigner à ce sujet et à l’ensemble du monde sorcier. Elle ne voulait pas être inculte vis-à-vis des élèves au courant de leur sorcellerie depuis la naissance. Elle avait fait le choix de devenir Auror, une chasseuse de mages noirs, afin de servir et protéger les autres. Ce fut lors de sa cinquième année qu'elle prit cette décision, elle se mit à travailler dur ses examens pour obtenir les meilleures notes possibles. Elle termina ses études avec un examen d'ASPIC avec une moyenne (O)ptimal.

Chapitre 2 : Une vie professionnelle à l'anglaise

L'entrée dans la vie active de Louise se fit assez facilement, elle avait eu le temps d'économiser une petite fortune. Une fortune résultant des sommes d'argents offertes par ses parents, comme récompense pour chacun de ses passages dans l’année suivantes, durant toute sa scolarité, à l’académie de magie. Elle avait un peu moins d'un millier d'euros dont elle avait fait convertir les trois quart en monnaie de sorcier. Entreposé à la banque de Gringotts française, depuis le début de ses études, afin de payer les fournitures scolaires, dont elle avait eu besoin pendant sa scolarité. Elle décida de passer les examens d'admission pour être Auror, examen qu'elle n'eut que peu de mal à les réussir après trois longues années de formation. Elle commença à être au plus bas niveau de l'échelle chez les Aurors.

Elle contribua à l'arrestation de plusieurs mages noirs et certains partisans de Vous Savez Qui, avec ses collègues. Ses parents étaient vraiment fier d'elle, et même s'ils devaient garder le secret sur la nature magique de leur fille. Elle se fit de nombreux alliés et collègues dans son milieu de travail, ainsi que des contacts dans l'ensemble du monde des sorciers. Bien qu’étant rattaché au Ministère de la Magie Française, elle fut parfois affectée à d’autre pays, pour des « missions » commune.


Chapitre 3 : Pourquoi suis-je née ? Séjour à Azkaban

Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom était de retour, la nouvelle s'était répandue rapidement dans le monde entier. Les mangemorts avaient envahis les bureau du Ministère. Le Seigneur des Ténèbres avait instauré sa politique d'un monde de Sorcier au Sang-Pur en haut de l'échelle de la société. Elle avait reçu sa convocation au tribunal et s'y rendit, redoutant le verdict, sa baguette lui avait été confisqué peu de temps avant.

Louise alla au tribunal de sorciers, où seuls des chefs d'inculpations fut donnés et un verdict. Elle n'avait pas eu le droit de se défendre, sa baguette fut brisée sous ses yeux et elle fut condamnée à Azkaban pour le restant de ses jours. Elle fut envoyée à Azkaban pour les motifs suivants : Vol de baguette à un véritable sorcier, conspiration avec des non-sorciers, être une né-moldus, avoir outrepassé ses droits en travaillant au Ministère de la Magie. Elle fut conduite à Azkaban, se débattant pendant le voyage, hurlant sa colère d’avoir vu le Ministère tombait dans les ténèbres, sans même essayer de se battre, et ce juste par peur. Le lieu était des plus sinistre, et après plusieurs semaines de souffrance, elle se mit à en vouloir à ses parents de n'être que des moldus, mais aussi à sa propre existence.


Chapitre 4 : Bienvenue au Pays de la Folie

Son séjour à Azkaban fut le plus effroyable possible. Au début, elle ne ressentit que peu de choses de la part des détraqueurs, mais elle entendait les cris des autres. Des cris stridents de peur et d'effroi, et des sanglots venant de l'ensemble de la prison, glaçaient le sang de l'ancienne Auror, qui avait déjà vu de nombreuses horreurs. Elle pouvait voir depuis sa "fenêtre" les détraqueurs volaient et se nourrir, à quelques instants, des souvenirs heureux des prisonniers, et ravivant leur pire souvenir, par le simple présence. Elle passait ses nuits à pleurer toutes les larmes de son corps. Elle ne voulait plus se souvenir de son enfance. Elle entendait à nouveau les moqueries de ses camarades de classes. Elle pensait que ce n'était qu'un lointain souvenir, mais ce ne fut pas le cas. Elle se mit à geindre de peur comme les autres et à bouger dans tous les sens pour y échapper, mais en vain. La sorcière commença à se taper la tête contre les murs froids pour lutter, mais sans aucun succès. La peau de ses doigts s'était écorchée et ses ongles étaient dans un état lamentable, à force de griffer le mur pour oublier grâce à la douleur. La douleur permettait de supporter les détraqueurs un peu plus longtemps.

Puis elle céda, elle était à Azkaban depuis plus de huit mois. Huit longs mois, pendant lesquels elle avait été violée psychologiquement par cette prison et son atmosphère. Elle avait perdue presque toute joie de vivre. Elle avait réussis à garder son âme, mais pas toute sa mentalité. Il n'y avait plus de sanglots s'échappant de ses lèvres, mais uniquement des rires stridents et froids. Des rires malsains d'une personne folle et maladive, attendant son heure pour trépasser, tel Tantale essayant de se rassasier en vain. Son corps était devenue sale et ses cheveux blancs redevenu blonds, entièrement gras, par l'endroit sombre et humide. Ses parents avait été tués peu de temps après son enfermement, elle n'avait donc plus rien à perdre. Ses yeux s'étaient voilés d'un voile translucide de larmes, ne la laissant plus qu'espérer d'obtenir la grâce divine, la grâce de mourir bientôt pour rejoindre sa famille dans les cieux.


Chapitre 5 : Une lueur au bout d'un tunnel de désespoir. Je suis le Mal

Elle allait rester enfermée ici, oublier par les autres. Les jours étaient en train de se faire de plus en plus sombre. Elle avait arrêté de s'alimenter afin de mourir de faim, elle était lasse de se battre pour une cause qui n'était plus la sienne. Elle ne rêvait que d'une chose mourir avec dignité, mais c'était un rêve devenu idyllique pour l'heure. Elle se sentit tomber dans les ténèbres de la mort, sa respiration s'était faite très lente. Ses yeux venaient de se fermer avec une dernière phrase "Je ne veux pas mourir".

Quand elle rouvrit les yeux, elle se retrouva entourée de murs d'un blanc immaculé. Elle était entièrement propre et vêtue d'une robe blanche. Était-elle morte ? Était-ce l'atrium avant le Jardin d'Eden et le Paradis ? Elle comprit que ce n'était en rien de tout cela. Elle était à Sainte Mangouste, l'hôpital pour les maladies et blessures magiques, pour y recevoir des soins. Les guérisseurs avaient fait en en sorte de restaurer le corps de la sorcière et lui retirèrent tout son séjour à Azkaban de sa mémoire. Cependant, les choses ne sont pas parfaites et Louise garda quelques brides de souvenirs très faibles. Bien que la douleur de son séjour n’était d’un léger voile de souvenir, elle avait été rongé par la folie et c’est une chose qu’ils ne purent soigner. Il s’agissait principalement d’une rancœur envers les Ministères de la Magie. Louise eut le droit de reprendre ses fonctions d’Aurors et s’arrangea pour devenir enseignante à BeauxBâtons afin de se rapprocher de la relève. Elle voulait assouvir sa vengeance, mais ce n’était pas une vengeance dans le sens tuer. C’était une vengeance visant à obliger les Ministères à ne plus jamais céder aux forces du mal. Et si pour cela, elle devait reprendre le flambeau de Lord Voldemort, elle reprendrait le flambeau et réunirait des adeptes. Elle enfilerai la cape noire du mal et deviendrait une mage noire.